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CARTE JOB

 

USER

USER :

Identifie le nom du user RACF qui est responsable de la soumission du job et qui transmet son autorité au job.

Remarque :

User, Password, Group peuvent être omis pour une soumission sous TSO.
Ils peuvent être nécessaires pour la soumission à une destination d'un autre noeud ou en batch par internal reader.

Syntaxe

USER=nom du user (nom de user RACF alphanumérique de 1 à 8 octets)

 

TYPRUN

TYPRUN =

Demande à JES un traitement particulier pour le Job.

·        TYPRUN=COPY : Demande une copie du JCL en SYSOUT sans contrôle de syntaxe ni exécution.

·        TYPRUN=HOLD : Retenue du Job en file d'attente d'exécution - Libéré ('RELEASE') par une commande pupitre JES.
Si réseau : Retenu au noeud d'entrée, il est libre au noeud destinataire.

·        TYPRUN=JCLHOLD : Retenu du Job avant le traitement du JCL par le converter.
Libéré par commande pupitre JES.
Si réseau : Retenu au noeud d'entrée, puis libéré, il est retenu au noeud destinataire avant la sélection et doit être à nouveau libéré.

·        TYPRUN=SCAN : Analyse syntaxique du JCL - Pas d'exécution.

TIME

TIME =  

Limite la consommation de temps CPU du job.

Le job fait abend S322 quand la limite est dépassée (somme des consommations de tous les steps).

·        TIME = (mn, sec) ;

·        TIME = (,sec) ;

·        TIME = mn ;

·        TIME = 1440  : permet au job de s'affranchir de toute limitation ainsi que de la limite d'attente job wait time de SMF (24*60 minutes).

RESTART

RESTART=*

·        redémarrage au début d e l'étape

·        étape.procname

·        (étape.checkid) n° checkpoint où redémarrer

Permet le redémarrage d'un job à une étape donnée ou à un numéro de checkpoint d'un step donné (si le job a utilisé la facilité de checkpoint-restart lors de son passage précédent).

REGION

Taille maximum de mémoire pour le job.

Permet le contrôle de la taille de la région utilisateur de l'espace adresse.

Taille programme + GETMAIN à l'exécution + GETMAIN de terminaison de tâche si la pagination est autorisée.

K= 1024 octets M= 1 048 576 octets
0K ou 0M n'impose pas de limite.

Syntaxe :

REGION=xxxxK ou xxxxM

Mieux vaut paramétrer la région STEP par STEP pour une meilleure utilisation de l'espace virtuelle.

Abends associés :

·        S106 : Si le fetch n'a pas assez de place pour caser le PGM

·        S80A : Au moment de l'OPEN des fichiers, demande dynamique de mémoire (si pas assez)

RD (Restart Definition)

RD.procstepname= R
RNC
NR
NC

Indique l'action de restart opérateur si un step échoue.

·        R : restart automatique au step ;

·        RNC : restart automatique au step, pas de restant au checkpoint ;

·        NR : pas de restart automatique au step, restant différé au checkpoint ;

·        NC : pas de restart automatique.

 

 

PRTY (priority)

Indique la priorité JES à affecter au job (de 0 à 15 en JES2 ou de 0 à 14 en JES3).

Cette priorité est prise en compte pour la sélection des travaux.

Syntaxe : PRTY=priorité

Si tout le monde code une PRIORITY de 15, il n'y a plus d'action possible.

Non pris en compte par JES3

 

PERFORM

Indique le numéro de groupe de performance à assigner au job (ce qui détermine un 'profil' de performance).

Ce paramètre est optionnel, un groupe de performance sera de toute façon assigné à votre job.

Le paramètre PERFORM peut être aussi ignoré par l'installation.

Syntaxe

PERFORM=N

n est le numéro de groupe de performance (de 1 à 999)

Mieux vaut ne pas utiliser ce paramètre et laisser faire les mécanismes de SRM jouer leur rôle (IEAICSxx)

Commande MVS pour modifier le PERFORM d'un job :

E xxxxxxxx,PERFORM=120 : affectation au job xxxxxxxx du groupe de performances 120

PASSWORD

Indique le mot de passe RACF courant du userid RACF et éventuellement le nouveau mot de passe.

Syntaxe :

PASSWORD=mot-de-passe PASSWORD=(mot-de-passe,nouveau-mot-de-passe)

NOTIFY

Permet l'envoi d'un message à l'utilisateur TSO quand le job se termine. 

Si l'utilisateur n'est pas connecté à TSO, le message est conservé dans le fichier broadcast de TSO.

Syntaxe :  

NOTIFY=userid avec "userid' qui représente le userid TSO (1 à 7 caractères).

MSGLEVEL

MSGLEVEL= (a,b)

Détermine les éléments qui doivent être présents dans le listing du job, à savoir : 

·        L'ordre JOB ;

·        Le JCL,

·        Les ordres de contrôle JES2 et JES3 ;

·        Les cartes JCL des procédures appelées par une étape,

·        Les messages de substitution JCL et autres messages de traitement ;

·        Les messages JES et MVS® (allocations, début et fin de step, dispositions prises pour les fichiers).

a : Ordres JCL ou JES à imprimer :

·        0 : impression carte job seule

·        1 : impression de tous les ordres JCL et JES et de tous les messages et procédures appelées. (pris par défaut).

·        2 : impression que des ordres JCL et JES sans ceux des procédures appelées.

b : messages à imprimer :

·        0 : n'imprimer que les ordres JCL (ordres JES aussi si ABEND)

·        1 : imprimer les messages JCL

MSGCLASS

Détermine la classe de sysout JES à affecter à la log du job (carte JOB, JCL, messages qui apparaissent lors du traitement).

Syntaxe :

MSGCLASS=classe où "classe" est un caractère alphanumérique de A à Z ou de 0 à 9.

GROUP

GROUP =

Nom de groupe RACF 1 à 8 caractères Indique le groupe RACF auquel appartient l'utilisateur. 

A employer uniquement si l'on veut indiquer un groupe différent du groupe auquel appartient pardéfaut l'utilisateur (user RACF).

Syntaxe :

GROUP=nom-de-groupe (alphanumérique de 1 à 8 caractères)

COND

COND=(code,opérateur)
COND=(code,opérateur),(code,opérateur),etc.)

TEST DE NON EXECUTION

Conditionne la poursuite de l'exécution du job en fonction des codes retour renvoyés par les différentes étapes. 

Avant chaque démarrage d'étape, MVS® effectue, à partir de ce paramètre, des tests sur les codes retour des étapes précédentes. 

Si au moins un test est positif, toutes les étapes suivantes sont supprimées et le job se termine ; si aucune condition n'est vérifiée, l’étape est exécutée.


Jusqu'à 8 tests peuvent être indiqués.

La valeur du code est une valeur décimale de 0 à 4095. L'opérateur peut prendre les valeurs suivantes :

·        EQ - equal to (égalité)

·        LT - less than (inférieur)

·        LE - less than or equal to (inférieur ou égal)

·        NE - not equal (différent de)

·        GT - greater than (supérieur)

·        GE- greater than or equal to (supérieur ou égal)

Exemple :

//JOBCOND JOB 0,,COND=(0,NE)

CLASS="classe"

CLASS="classe"

Classe = classe de traitement JES

Affecte une classe de traitement JES au job.

Utilisé principalement dans un environnement JES2 où "classe" est un caractère alphanumérique de A à Z ou de 0 à 9.

Classe par défaut : la classe attribuée au READER JES

ADDRSPC=VIRT/REAL

Indique au système si le job a besoin de mémoire virtuelle (paginable) ou de mémoire réelle (non paginable). Il s'agit de mémoire virtuelle (VIRT) par défaut.

Mieux vaut laisser le système s'occuper de la pagination.

Nom du programmeur

Second paramètre positionnel de l'ordre JOB.

Il permet d'identifier la personne responsable du job.

Ce paramètre est positionné immédiatement après l'information comptable.

Il ne peut dépasser 20 caractères.

Il doit être précédé et suivi d'une apostrophe s'il contient des caractères spéciaux.

20 caractères maxi.

Exemple :

//MONJOB01 JOB (0045),'TOTO'

Informations comptables

Premier paramètre positionnel de l'ordre JOB.

142 caractères maxi à passer aux routines SMF (pour facturation entre autres de la CPU, place disque, nombre de lignes éditées).

L'absence d'information comptable est signalé par une virgule.

Entre parenthèses ou apostrophes si elle contient des caractères spéciaux.

Exemple :

//USERIDA JOB (0045), ...
//PAIE JOB (045,'04/12/91',PAIE),...
//BFCE JOB,...

JOB

Le mot clé JOB est obligatoire

 

Jobname

8 caractères maximum, le premier alpha ou national ; codé en colonne 3.

//jobname JOB(n° comptable, infos comptable ... ),'nom programmeur'

Exemple :

//MONJOB01 JOB (X0000),'NOMPROGRAMMEUR'